À Rome, en 1944, une chanteuse prend à tort un trafiquant au marché noir pour un espion allemand surnommé le Chat.
Le quiproquo a toujours été utile aux auteurs comiques. Ici, on l'emploie à satiété et le procédé devient vite lassant. L'auteur n'oeuvre pas dans la finesse et la légèreté. Les gags se succèdent, lourds et appuyés, mais avec un peu de chance on peut attraper au passage quelques effets vraiment amusants. Les comédiens, encouragés par le réalisateur, chargent eux aussi à qui mieux mieux.