La construction d'un ensemble domiciliaire est compromise par le refus d'un rentier de se laisser exproprier. Aspect documentaire valable. Manque d'unité et de rigueur. Bons interprètes.
Comme dans MON ONCLE de Tati, on oppose ici deux genres de vie, l'une plus personnelle et poétique, l'autre dépersonnalisée par l'habitation en commun dans des «cages à poule». On sent que l'auteur est un documentaliste, par sa description minutieuse de la vie quotidienne dans ces immeubles à logements multiples. Mais le film manque d'unité et de rigueur. On ne croit pas tout à fait au personnage de Fresnay.