Un ouvrier ne trouve d'affection que chez son fils adoptif. Récit surchargé. Dialogues trop brillants. Réalisation souple. Bons interprètes.
Sous prétexte de faire plus dramatique, les scénaristes ont surchargé le récit et la vraisemblance s'en ressent. Les dialogues de Michel Audiard, écrits sur mesure pour Jean Gabin, sont trop brillants pour le personnage qu'il doit incarner. Les «mots d'auteur» submergent le film, au point que cela devient agaçant à la longue. La réalisation, sur le plan technique, est d'un homme qui connaît son métier.