Le chef d'une troupe de révolutionnaires s'éprend d'une femme-soldat. Partie sentimentale envahissante. Bonne photographie. Interprétation ampoulée.
Cette page de l'histoire du Mexique n'a guère de résonance sur nos écrans. Peut-être est-ce dû pour une part à la partie sentimentale par trop envahissante et qu'un doublage plutôt fatigant vient encore desservir. La couleur est bonne de même que la photo de Figueroa. Le jeu violent de Maria Félix dans le personnage de «La Cucaracha» finit par tomber sur les nerfs.