Cette histoire conventionnelle n'existe que pour permettre une fois de plus au petit Joselito de montrer sa belle voix. Le réalisateur a voulu donner en même temps l'occasion au spectateur d'esquisser un sourire ou d'écraser une larme. Mais il a choisi pour ce faire des éléments d'une naïveté vraiment trop poussée qu'il a présentés avec un certain métier mais sans art aucun.
Texte : Robert-Claude Bérubé