Remarquable

Ascenseur pour l'échafaud

Name: Ascenseur pour l'échafaud
Director: Louis Malle
Genre: Thriller
Duration: 88 min.

Fr. 1957. Thriller de Louis Malle avec Maurice Ronet, Jeanne Moreau, Georges Poujouly. Un homme planifie un crime parfait et prévoit tout, sauf une panne d'ascenseur. Premier film de Louis Malle. Brillant exercice de style. Suspense soutenu avec rigueur et sobriété. Personnages fort bien étudiés et interprétés avec talent.

Ascenseur pour l'échafaud (Ascenseur pour l'échafaud)

Général

Fr. 1957. Thriller de Louis Malle avec Maurice Ronet, Jeanne Moreau, Georges Poujouly.

Un homme planifie un crime parfait et prévoit tout, sauf une panne d'ascenseur. Premier film de Louis Malle. Brillant exercice de style. Suspense soutenu avec rigueur et sobriété. Personnages fort bien étudiés et interprétés avec talent.

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Genre :

Thriller

Année :

1957

Durée :

88 min.

Réalisation :

Louis Malle

Scénario :

Noël Calef
Louis Malle
Roger Nimier
D'après le roman de Noël Calef

Photographie :

Henri Decaë

Musique :

Miles Davis

Montage :

Léonide Azar

Pays :

France

Distributeur :

K-Films Amérique

Interprètes :

Maurice Ronet
Jeanne Moreau
Georges Poujouly
Yori Bertin
Jean Wall
Elga Andersen
Lino Ventura
Charles Denner

Récompenses

Un homme dangereux travaille pour le compte d'un trafiquant immonde dont la femme est sa maîtresse. Il décide, de connivence avec celle-ci, d'assassiner son «patron» et machine alors un crime parfait. Tout est prévu dans le moindre détail. Sauf une panne d'ascenseur qui l'immobilisera durant une nuit entre deux étages, sur les lieux même du crime.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Louis Malle a réussi un film brillant qui se ressent de l'influence de Robert Bresson (désir d'évasion du criminel) et de Jacques Tati (économie du dialogue), et dans lequel le suspense se prolonge de la première image à la dernière. Renonçant aux poncifs habituels, le cinéaste emploie une rigueur de style d'un ton nouveau, dans un univers irrespirable fait de béton, d'électricité. Les personnages en sont pour ainsi dire «déshumanisés» malgré l'excellente interprétation des vedettes.

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