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Le Trône de sang: Le Château de l'araignée (Kumonosu-jô)

Name: Trône de sang: Le Château de l'araignée, Le
Director: Akira Kurosawa
Genre: Drame
Duration: 109 min.

Jap. 1956. Drame de Akira Kurosawa avec Toshiro Mifune, Isuzu Yamada, Minoru Chiaki. Un général tue son suzerain afin de lui succéder. Transposition de "Macbeth" de Shakespeare dans le contexte japonais. Dialogue réduit. Imagerie insolite. Très bon jeu des acteurs.

Le Trône de sang: Le Château de l'araignée (Kumonosu-jô)

Général

Jap. 1956. Drame de Akira Kurosawa avec Toshiro Mifune, Isuzu Yamada, Minoru Chiaki.

Un général tue son suzerain afin de lui succéder. Transposition de "Macbeth" de Shakespeare dans le contexte japonais. Dialogue réduit. Imagerie insolite. Très bon jeu des acteurs.

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Genre :

Drame

Année :

1956

Durée :

109 min.

Réalisation :

Akira Kurosawa

Scénario :

Shinobu Hashimoto
Ryûzô Kikushima
Akira Kurosawa
Hideo Oguni
D'après la piéce de William Shakespeare

Photographie :

Asakazu Nakai

Musique :

Masaru Satô

Pays :

Japon

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Toshiro Mifune
Isuzu Yamada
Minoru Chiaki
Takashi Shimura
Akira Kubo
Yoichi Tachikawa

Encouragé par la prédiction d'une sorcière et par les exhortations de son épouse, le général Washizu tue son suzerain puis son meilleur ami, Miki, devenu témoin gênant. Mais le fils de celui-ci, Yoshiteru, s'échappe et s'enfuit dans une région lointaine pour y préparer sa revanche. Washizu assoit sa domination par la cruauté et son interprétation des prédictions de la sorcière le rassure sur son sort ultime. Yoshiteru revient pourtant prendre la tête de la résistance et fait l'assaut du château du despote.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant du "Macbeth" de William Shakespeare, Akira Kurosawa a transposé l'intrigue dans le contexte japonais en respectant à la fois les traditions théâtrales et les exigences cinématographiques. Le dialogue est réduit au minimum et l'emphase qui marque le jeu des acteurs se défend parfaitement dans le climat d'ensemble. Une imagerie insolite naît des scènes de forêt avec brouillard autant que des costumes et des décors d'époque. Le tout se présente dans une grandiloquence inspirée et la mort du héros apparaît particulièrement impressionnante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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