Un mécanicien de locomotive rend la vie impossible à sa fille adoptive. Banal et conventionnel. Réalisation terne. Interprétation faible.
Le classique d'Abel Gance, LA ROUE, ouvrait une voie nouvelle dans l'art du cinéma. Le remake d'André Haguet, au contraire, retourne aux films banals, conventionnels et de peu d'intérêt. L'histoire embrouillée et faussement douloureuse est réalisée de façon bien terne. Jean Servais ne se tire pas trop mal d'un rôle superficiel, mais Catherine Anouilh, dès qu'elle ouvre la bouche, devient détestable. Il reste tout de même quelques belles scènes de rails, de fumées et de locomotives.