Remarquable

Le Tzarewitch (Der Zarewitsch)

Name: Tzarewitch, Le
Director: Arthur Maria Rabenalt, Pierre Gaspard-Huit
Genre: Drame musical
Released: 2010-08-12 16:27:06
Duration: 94 min.

All. 1954. Drame musical de Arthur Maria Rabenalt, Pierre Gaspard-Huit avec Luis Mariano, Sonja Ziemann, Iván Petrovich. Secrètement éprise du jeune premier de l'opérette qu'ils jouent ensemble, une ballerine revit en rêve le thème de cette oeuvre. Histoire fantaisiste aussi puérile qu'irréelle. Divertissement plaisant malgré un certain manque de goût. Musique et chorégraphies agréables.

Le Tzarewitch (Der Zarewitsch)

En attente de classement

All. 1954. Drame musical de Arthur Maria Rabenalt, Pierre Gaspard-Huit avec Luis Mariano, Sonja Ziemann, Iván Petrovich.

Secrètement éprise du jeune premier de l'opérette qu'ils jouent ensemble, une ballerine revit en rêve le thème de cette oeuvre. Histoire fantaisiste aussi puérile qu'irréelle. Divertissement plaisant malgré un certain manque de goût. Musique et chorégraphies agréables.

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Genre :

Drame musical

Année :

1954

Durée :

94 min.

Réalisation :

Arthur Maria Rabenalt
Pierre Gaspard-Huit

Scénario :

Roger Richebé
Pierre Gaspard-Huit
Paul H. Rameau
Georges Neveux
D'après l'oeuvre de Franz Lehar

Photographie :

Georg Bruckbauer

Musique :

Friedrich Mögle

Montage :

Martha Dübber

Pays :

Allemagne
France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Luis Mariano
Sonja Ziemann
Iván Petrovich
Hans Richter
Maria Sebaldt
Paul Henckels
Ernst Waldow
Irina Garden
Hanne-Lore Morell
Axel Monjé
Gerd Frickhöffer

Une ballerine, secrètement éprise du jeune premier, interprète du Tzarevitch dans l'opérette du même nom, revit en rêve le thème de cette oeuvre. Déguisée en cosaque, elle arrive jusqu'au Tzarevitch et se fait aimer de lui. Mais le Tzar étant mort, le jeune prince se doit de renoncer à elle pour son pays. Au même moment, la danseuse s'éveille et trouve à ses pieds le beau ténor, objet de ses songes, qui lui avoue son amour.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il ne faut guère s'attacher à la puérilité de l'histoire dont l'irréalité peut être mise sur le compte d'une audacieuse fantaisie. La musique est agréable et le corps de ballet du Théâtre national de Belgrade fait assez «russe». À part un certain manque de goût, ce spectacle constitue un agréable divertissement. Le caractère fictif des situations atténue la portée morale de ce film réservé cependant aux adultes, en raison de certaines scènes.

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