Le film met surtout en lumière la personnalité attachante du colonel justicier aux prises avec un terrible débat de conscience. Mais en voulant raconter la seule journée du 20 juillet, Pabst s'oblige à une condensation qui empâte les personnages et rend le dialogue artificiel. Un épisode historique à répercussions mondiales peut difficilement se ramener à l'anecdote, même honnêtement réalisée.