Les égoûts viennois du Troisième Homme sont apparemment une veine heureuse que plus d'un cinéaste se plaît à exploiter dans les scènes de poursuites. Evidemment il y a transposition, mais on doit admettre, même si le film est bien fait, que l'intrigue policière est réduite à quelques ficelles usées. L'image est un peu grise et le doublage laisse à désirer. Le comportement d'une pure jeune fille qui veut sauver un «bon» faussaire font réserver le film aux adultes avertis.