L’AVIS DE MEDIAFILM

Si le point de départ est original, le développement, par contre, est assez boiteux et maladroit. La couleur locale et un certain tact relèvent la lourdeur de quelques séquences et empêchent l'oeuvre de tomber dans le mélodrame. L'interprétation est moyenne, sauf celle d'Umberto Spadaro et d'Angelo Maggio d'une spontanéité irrésistible. Cette oeuvre diffuse présente des tendances généreuses notamment le triomphe de l'amour et de l'abnégation sur la haine. Cependant le thème et les situations qui s'y rapportent réservent l'ensemble aux adultes.