Sous l'influence du diable, un acteur vit dans la peau de plusieurs personnages. Fantaisie très inégale. Réalisation banale. Interprétation faible.
Le scénariste emprunte ici la formule du film à sketches. Ceux-ci, d'inégale valeur, ne parviennent pas à soutenir l'intérêt malgré le ton d'aimable fantaisie. Réalisation et interprétation sont de faible qualité, sauf peut-être en ce qui concerne Mischa Auer qui campe un diplomate italien très amusant. Une oeuvre moyenne, d'une philosophie assez sommaire. L'invraisemblance et la fantaisie atténuent la portée morale de certaines scènes telles celles d'un suicide et d'un assassinat politique.