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Le Grand Casino (Gran Casino (Tampico))

Mex. 1947. Aventures de Luis Bunuel avec Jorge Negrete, Libertad Lamarque, Agustín Isunza. Deux évadés de prison s'associent à un homme qui exploite de peine et de misère un puits de pétrole dont un trust veut s'emparer. Production assez quelconque au service de deux vedettes en vogue. Scénario simpliste. Rythme cassé par les chansons. Réalisation honnête. Interprétation correcte.

En attente de classement
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Le Grand Casino (Gran Casino (Tampico))

En attente de classement En attente de classement

Mex. 1947. Aventures de Luis Bunuel avec Jorge Negrete, Libertad Lamarque, Agustín Isunza.

Deux évadés de prison s'associent à un homme qui exploite de peine et de misère un puits de pétrole dont un trust veut s'emparer. Production assez quelconque au service de deux vedettes en vogue. Scénario simpliste. Rythme cassé par les chansons. Réalisation honnête. Interprétation correcte.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Mauricio Magdaleno
D'après le roman de Michel Veber
Photographie :
Musique :
Montage :
Deux évadés de prison, Gerardo et Demetrio, s'associent à un certain Enrique qui exploite de peine et de misère un puits de pétrole dont les directeurs d'un trust voudraient s'emparer. L'homme de main de l'organisation fait disparaître Enrique, mais la soeur de la victime vient enquêter sous une fausse identité. Gerardo s'éprend d'elle et l'aide à voir clair dans les manigances du représentant du trust. La jeune femme doit pourtant se résoudre à céder le puits et à quitter la région avec Gerardo.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film ne présente guère d'autre intérêt que d'avoir marqué le retour de Luis Bunuel à la mise en scène après quinze ans de silence. Pour l'occasion, le cinéaste s'est contenté de marquer le pas et a joué le jeu de la production mexicaine moyenne. Les deux vedettes se trouvant être des chanteurs en vogue à l'époque, l'action s'arrête par moments pour leur permettre de faire leur numéro. La réalisation est honnête, mais le scénario est simpliste et l'ensemble ne laisse passer que bien peu d'indices du tempérament du cinéaste.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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