Le réalisateur ne recule pas devant les effets les plus appuyés pour raconter son histoire. L'accumulation excessive de malheurs nuit à la vraisemblance du film, qui jouit par ailleurs d'une réalisation soignée et d'une interprétation sensible. La photographie, signée Gabriel Figueroa, est souvent remarquable.
Texte : Robert-Claude Bérubé