Fr. 1942. Comédie policière de Henri-Georges Clouzot avec Pierre Fresnay, Suzy Delair, Pierre Larquey. Un policier se faisant passer pour un religieux recherche un assassin dans une pension de famille. Intrigue bien menée. Dialogue fort amusant. Galerie de personnages pittoresques. Bonne création d'atmosphère. Interprétation savoureuse.
Un policier se faisant passer pour un religieux recherche un assassin dans une pension de famille. Intrigue bien menée. Dialogue fort amusant. Galerie de personnages pittoresques. Bonne création d'atmosphère. Interprétation savoureuse.
Jacques Siclier - Télérama
(...) ce film contient en germe, dans sa mise en scène, l'univers noir et pessimiste du CORBEAU et des oeuvres postérieures de Clouzot. (...) Un humour caustique - brocardant (...) les policiers et les vieilles filles - accentue l'ambiguïté du tableau.
(Texte paru en 1975)
E.J. B. - The New York Times
Pierre Fresnay makes a suave and personable character of the detective, and Suzy Delair is enjoyable as his buxom, blundering, uninhibited girl friend. (...) The directing is jerky and abrupt in spots (...) but all in all it is a good mystery lark spiced.
(Texte paru en 1947)
Suzy Delair - Le Figaro
"L'ASSASSIN, nous l'avons tourné en dix-sept jours. (...) Jamais plus de deux prises. Il fallait économiser le courant et la pellicule. Pas de chauffage, dans le studio! (...) Il fallait se lever à cinq heures du matin pour avoir le premier métro, jusqu'à Boulogne."
(Texte paru en 1982)
W.J. S. - Kinematograph
The intricate plot tends to slow down the first half of the film, but the subsequent action at the dingy boarding house is enlivened with a thrilling atmosphere, an orgy of corpses and a suspenseful climax.
(Texte paru en 1950)
Auteur inconnu - Écrans de France
Une suite de scènes rapides, comiques ou dramatiques, assure un excellent rythme à ce film. Les personnages sont [très bien] typés. (...) Mais il y a aussi des situations fort délicates et un dialogue très réaliste qui font déconseiller le film.
(Texte paru en 1955)
Auteur inconnu - Variety
Yarn is a carnival of cadavers handled in a tongue-in-cheek style without any insistence on plot details. In this production the proverbial Gallic touches of candor are frequently evident, with bordeline between candor and coarseness not always observed.
(Texte paru en 1947)