Fr. 1937. Mélodrame de Max Ophüls avec Pierre Richard-Willm, Sessue Hayakawa, Michiko Tanaka. Au XIXe siècle, au Japon, un officier russe soupçonné d'espionnage s'éprend d'une jeune geisha. Oeuvre délicate et en demi-teintes. Première partie très documentaire intéressante. Interprétation manquant de conviction.
Au XIXe siècle, au Japon, un officier russe soupçonné d'espionnage s'éprend d'une jeune geisha. Oeuvre délicate et en demi-teintes. Première partie très documentaire intéressante. Interprétation manquant de conviction.
Réalisé en demi-teintes, dans le style bien caractéristique d'un Max Ophüls, ce film est traité avec délicatesse. L'interprétation cependant manque de conviction. La première partie de l'oeuvre est un documentaire sur le Yoshiwara, maison publique japonaise, et sur l'éducation des geishas qui l'habitent. En raison de certaines scènes, le spectacle s'adresse aux adultes avertis.