Un légionnaire rencontre une entraîneuse qui lui rappelle la femme pour laquelle il s'est ruiné. Sujet un peu vieilli. Technique excellente. Interprétation de classe.
André Moreau - Télérama
[Feyder] ne se contente pas, comme d'autres, de jouer sur la mythologie et l'exotisme de la Légion. (...) LE GRAND JEU est un authentique film psychologique. (...) La marche des légionnaires constitue un moment d'une grande intensité dramatique et Pierre Richard-willm trouve ici un de ses plus beaux rôles.
(Texte paru en 1986)
Jacques Siclier - Télérama
La mode était alors au romantisme de la Légion, des soldats perdus et des filles du hasard. Jacques feyder haussa cette histoire, apparemment concentionnelle, jusqu'au drame pirandellien. (...) Feyder, cinéaste réaliste (...), reconstitua avec exactitude l'atmosphère et les lieux de la vie des légionnaires.
(Texte paru en 1983)