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L'Abbé Constantin

Fr. 1933. Comédie de Jean-Paul Paulin avec Françoise Rosay, Léon Bélières, Claude Dauphin. Après l'acquisition du château local par un riche Américain, la comtesse d'un petit village se met en tête de marier son fils à la jeune belle-soeur de ce dernier. Adaptation actualisée d'une pièce de théâtre. Portrait gentiment critique des moeurs de la petite noblesse. Dialogue pétillant par moments. Réalisation très modeste. Composition truculente de F. Rosay.

Général
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L'Abbé Constantin (L'Abbé Constantin)

Général Général

Fr. 1933. Comédie de Jean-Paul Paulin avec Françoise Rosay, Léon Bélières, Claude Dauphin.

Après l'acquisition du château local par un riche Américain, la comtesse d'un petit village se met en tête de marier son fils à la jeune belle-soeur de ce dernier. Adaptation actualisée d'une pièce de théâtre. Portrait gentiment critique des moeurs de la petite noblesse. Dialogue pétillant par moments. Réalisation très modeste. Composition truculente de F. Rosay.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Charles Spaak
D'après la piéce de Ludovic Halévy
D'après la piéce de Hector Crémieux
D'après la piéce de Pierre Decourcelle
Photographie :
Musique :
Montage :
Vivant à la campagne dans une belle demeure, la comtesse de Laverdens rêve néanmoins d'acquérir le château local afin d'asseoir son statut de châtelaine. Malheureusement, malgré ses efforts, celui-ci est acheté par un riche Américain, qui y installe sa femme et sa belle-soeur Bettina. La comtesse se met alors en tête de marier son fils Paul à la jeune fille. Or, celui-ci s'éprend plutôt de l'épouse, tandis que son ami Jean, venu visiter son parrain, l'abbé Constantin, en pince pour Bettina.

L’AVIS DE MEDIAFILM

D'abord roman, puis pièce de théâtre, cet ABBÉ CONSTANTIN a été adapté une première fois au cinéma en 1925 par Julien Duvivier. Cette seconde version, signée Jean-Paul Paulin, a été actualisée et recentrée sur le personnage de la comtesse. De fait, le film se présente comme un portrait gentiment critique des moeurs de la petite noblesse qui s'accroche à un prestige d'une autre époque. Le dialogue se révèle souvent pétillant. La réalisation, très modeste, est tout au service de l'histoire et des comédiens. Dans le rôle de l'aristocrate, Françoise Rosay offre une composition truculente.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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