Mediafilm plus est la plateforme par abonnement de Mediafilm. Celle-ci donne accàs à près de 70 000 fiches de films, ainsi qu'à toute une gamme de privilèges exclusifs. Pour connaître tous les détails, cliquez sur le bouton Pourquoi s'abonner ci-bas.
Mediafil est le fil de presse en libre service de Mediafilm. Il est accessible aux médias, par abonnement.
Pour plus de renseignements au sujet de Mediafil, veuillez communiquer avec notre SERVICE À LA CLIENTÈLE.
Centre Phi au Musée des Beaux-Arts de Montréal >
Cineplex Odeon Forum (ancien AMC) >
Cineplex Odeon Place LaSalle >
Cineplex Odeon Quartier Latin >
Famous Players Carrefour Angrignon >
IMAX Telus Centre des Sciences de Montréal >
Ciné+ du Musée canadien de l'histoire >
Cinéma le Clap au Musée de la Civilisation >
IMAX Galeries de la Capitale >
Cette fonctionnalité est réservée aux abonnés de Mediafilm plus.
Genre : | Drame |
Année : | 2017 |
Durée : | 91 min. |
Production : |
Lyse Lafontaine
François Tremblay Elisa Garbar |
Réalisation : |
Léa Pool
|
Scénario : |
Léa Pool
Sophie Bienvenu D'après le roman de Sophie Bienvenu. |
Photographie : |
Denis Jutzeler
|
Musique : |
Michel Cusson
|
Montage : |
Michel Arcand
|
Pays : |
Canada (Québec) Suisse |
Distributeur : | K-Films Amérique |
Interprètes : |
Sophie Nélisse
Jean-Simon Leduc Karine Vanasse Isabelle Nélisse Mehdi Djaadi Iannicko N'Doua-Légaré Guillaume Rodrigue Gilles Tschudi Mohcine Besri Dominique Pétin |
Site officiel |
En quête d'identité et d'amour, une adolescente de 14 ans, qui entretient une relation conflictuelle avec sa mère, s'éprend d'un cuisinier aux ambitions de musicien, qui a le double de son âge. Mais ce dernier n'éprouve que de l'amitié pour elle...
Tout en respectant la structure du roman de Sophie Bienvenu, soit une longue confession au "je", Léa Pool brosse un portrait sensible d'une adolescente troublée. Hormis quelques effets de style superflus, sa réalisation ne manque pas de classe. En revanche, la volontaire Sophie Nélisse (MONSIEUR LAZHAR, 1:54) a parfois du mal à rendre la complexité de son personnage.
Luc Boulanger (La Presse)
L'émotion jaillit faiblement dans ce film beaucoup trop lisse, trop propre, tant pour faire sentir la détresse d'Aïcha que la dureté de son milieu. (...) on sent très peu la vulnérabilité d'Aïcha. (...) Est-ce à cause du jeu assez limité de Sophie Nélisse? (...) La jeune comédienne ne convainc pas. (...) Dans la peau de la mère d'Aïcha, (...) Karine Vanasse est convaincante et très juste.
Manon Dumais (Le Devoir)
(...) le roman (...) est un monologue à la première personne où la jeune narratrice brouille malicieusement les pistes entre la vérité et le mensonge, entre la réalité et le fantasme. Sur ce point, Léa Pool et Sophie Bienvenu ont réussi à préserver l’essence du roman. (...) Alors que Karine Vanasse et Jean-Simon Leduc jouent impeccablement leur partition, Sophie Nélisse peine à convaincre dans le rôle complexe d’Aïcha.
T’Cha Dunlevy (The Gazette)
Nélisse inhabits the role of Aïcha, who roller-skates around town, acting like a kid one minute and a precocious teen the next. And while her dramatic range allowed the actress to probe the depths of the film’s harsher moments, it was Nélisse’s guilelessness that won Pool over.
Julie Vaillancourt (Séquences)
(...) Sophie Nélisse (...) porte littéralement le film sur ses épaules. Entre les séances d’interrogatoire (...) [et] les prises de becs avec sa mère, son interprétation oscille entre naïveté, vulnérabilité et force de caractère, rendant les scènes particulièrement émotives. Dans le rôle de la mère, (...) Karine Vanasse (...) prouve une fois de plus sa force d’interprétation.
Maxime Demers (Le Journal de Montréal)
(...) le scénario joue sur les différences entre la vérité et les mensonges que raconte Aïcha. Une proposition qui aurait pu s’avérer intéressante... Mais le récit devient rapidement banal et prévisible, alourdi par une mise en scène parfois trop appuyée. Présente dans pratiquement toutes les scènes, la jeune Sophie Nélisse aurait normalement dû porter le film sur ses épaules. Sauf qu’on a du mal à croire à son personnage.
![]() |
Hikari |
![]() |
Jap. 2017. Drame psychologique de Naomi Kawase avec Ayame Misaki, Masatoshi Nagase, Tatsuya Fuji. En deuil de son père et aux prises avec une mère sénile qui vit à la campagne, une narratrice de films pour personnes aveugles fait la connaissance d'un photographe bourru, qui accepte mal de perdre progressivement la vue. |